Recette de pâte à crêpes...mettez votre tablier et préparez-vous !

Voici une recette de crêpes excellente !

N'oubliez pas d'en emporter quelques-unes en classe !


Cette recette de Pâte à crêpes convient pour 8 à 10 personnes
Temps de préparation 10 min - Temps de cuisson 3 min

Liste des ingrédients

• 250g de farine
• 4 oeufs
• un demi-litre de lait
• 1 pincée de sel
• 50 grammes de beurre
• 1 sachet de sucre vanillé
• 1 cuillère à soupe de rhum (5 cl)

Variante : pour rendre les crêpes plus savoureuses, remplacer une partie du lait par de la crème fraîche.

Vous avez des doutes...vous ne savez pas comment vous y prendre... alors écoutez et regardez !

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C'est bientôt la Chandeleur...mais au fait connaissez-vous son histoire et ses origines ?

Histoire de la Chandeleur et du sarrasin

Ce n'est pas tout de savourer des crêpes tous les 2 février, encore faut-il savoir pourquoi. L'Internaute vous remémore les origines de la Chandeleur, des crêpes et des galettes.

 

La fêtes des chandelles

Fête de tradition catholique, la Chandeleur célèbre originellement la présentation de l'enfant Jésus Christ au Temple, précisément 40 jours après sa naissance.

C'est en mémoire de cet événement, qu'à partir de 492 fut organisée une procession annuelle, au cours de laquelle étaient allumés des cierges bénis. La fête de la Chandeleur tire d'ailleurs son nom du latin festa candelarum (fête des chandelles).

C'est lors de l'une de ces processions qu'est né le traditionnel partage des crêpes chaque 2 février. Afin d'encourager et de récompenser les nombreux pèlerins venus jusqu'à Rome pour fêter la Chandeleur, le pape Gélase 1er leur distribua des crêpes (de crispus, ondulé en latin), appelées "oublies" en ce temps, donnant ainsi naissance à une tradition toujours respectée.

Dans le monde paysan, le 2 février symbolise également la sortie de l'hiver et le retour au travail agricole. Les chandelles bénies étaient donc conservées par les paysans superstitieux qui les rallumaient dans le but de protéger les futures récoltes. Avec le temps, les crêpes devinrent également un témoignage d'allégeance des fermiers envers leurs seigneurs, qui s'en voyaient offrir chaque année.

Comme c'est le cas pour bon nombre de fêtes, il règne autour de la Chandeleur une atmosphère de superstition encore présente aujourd'hui. Nombreux sont ceux qui continuent à faire sauter leur première crêpe de la main droite, un Louis d'or dans la main gauche. D'autres encore jetaient cette première crêpe par dessus l'armoire, toujours par superstition...

A noter que s'il est d'usage de manger des crêpes le 2 février, certaines régions du sud de la France fêtent la Chandeleur en dégustant des beignets.

Le sarrasin, cette plante venue d'Asie

On estime l'apparition des premières galettes à 7 000 avant notre ère. A l'époque, elles étaient préparées à partir de toutes sortes de céréales et entraient dans la nourriture de base, au même titre que les soupes et les bouillies.

Le sarrasin, ou blé noir, a fait son apparition en France au XIIème siècle au retour des Croisés, à qui l'on doit l'importation de cette plante d'Asie. Car contrairement à son nom, le sarrasin n'a rien du blé, et appartient aux polygonacées comme l'oseille ou la rhubarbe, même si de par sa culture et son utilisation on a tendance à le classer parmi les céréales.

Si la Bretagne est connue pour être la patrie des galettes de blé noir, c'est parce que les terres et le climat tempéré de ce pays convenaient parfaitement à la culture du sarrasin. On surnomme par ailleurs cette plante, plante des 100 jours, en référence à sa culture qui s'étend sur trois mois de juin à la fin du mois d'août.

Le froment étant réservé aux riches propriétaires, longtemps le sarrasin, et notamment les galettes, a fait office de pain dans les bouillies et les soupes qu'il rendait plus consistantes. Ce n'est qu'à la fin du XIXème siècle, et la démocratisation du pain au froment, que le sarrasin a perdu de son influence dans la gastronomie.

Avant que le froment ne devienne donc accessible à tous, existaient deux types de préparations à base de sarrasin : la galette et la crêpe de blé noir.

La galette comme on la consomme encore aujourd'hui était plutôt une spécialité de la Haute-Bretagne. On la garnissait de viandes, de jambon, de saucisses, de fromage et de poissons. En revanche, la crêpe de sarrasin, était beaucoup plus fine et croustillante. Cette texture particulière, qui rendait son garnissage difficile, justifiera d'ailleurs son abandon progressif au profit des simples galettes.

Si de nos jours, certains ajoutent des œufs, du beurre, voire du lait ou de la farine de froment afin d'obtenir une galette plus souple et colorée, la recette d'eau, de sel et bien sûr de sarrasin, demeure la même depuis bientôt 1 000 ans.

Avant même l'utilisation généralisée du froment, on consommait déjà des crêpes sucrées. Celles-ci étaient faite à base de sarrasin auquel on ajoutait des œufs, du sucre et des épices comme la cannelle.

Populaires sur l'ensemble du territoire français, les crêpes, telles qu'on les connaît aujourd'hui, n'existent finalement que depuis un peu plus d'un siècle.

Elles possèdent différents noms selon les régions et le fait qu'elles soient fines, épaisses, croustillantes, moelleuses, grandes ou petites. On les connaît par exemple sous le nom de tantimolles en Champagne, vautes dans les Ardennes, roussettes en pays d'Anjou ou encore crupets en Gascogne.

Deuxième édition du rendez-vous des entrepreneurs

Sébastien Chartier (Photo Lepetitjournal.com)
"Ma plus grande frustration, c'est de ne pas pouvoir profiter de ce salon, où, en tant qu'entrepreneur, j'aimerais pouvoir assister à un tas de conférences et d'ateliers que nous organisons", s'exclame Sébastien Chartier, créateur du salon Miempresa. Sébastien Chartier est un passionné, un entrepreneur compulsif qui a créé ou participé à la création d'une douzaine d'entreprises depuis son arrivée en Espagne, au début des années 2000. Un pragmatique aussi, puisque de ses expériences, il a su tirer les leçons, bonnes ou mauvaises, pour toujours aller de l'avant : "Je suis pour le 'fracaso', c'est là qu'on apprend le plus", glisse-t-il notamment. Un homme pratique, qui a su identifier les espaces vides et les manques dont ses propres entreprises ont été amenées à souffrir et qui, pour sa propre utilisation, a commencé à développer les outils nécessaires à leur bon fonctionnement. Quitte à les commercialiser ensuite.

Info pratique et partage d'expérience
C'est de ce savant cocktail d'aptitudes qu'est né le salon Miempresa, qui propose stratégies, ressources et solutions pour creer sa propre entreprise et la faire croître. "En deux jours, on peut repartir avec une boîte clés en main", s'enthousiasme le jeune entrepreneur. "Or je considère qu'aujourd'hui personne n'a deux jours de son temps à dédier à un salon. Pour cette raison, le programme de Miempresa est organisé de telle façon que l'on peut venir 2 heures assister à un atelier, faire un peu de networking puis repartir au bureau". Il faut dire que l'équipe organisatrice a appris de ces erreurs de l'édition 2010 : cette année le salon sera résolument orienté vers la pratique et le partage d'expériences.

Cinq salles thématiques
Cinq salles thématiques seront habilitées dans ce sens : "entrepreneurs qui entreprennent", "développement et consolidation", "internationalisation", "travailleurs indépendants", "franchises". La première devrait ainsi permettre d'accompagner les entrepreneurs dans le développement de leur société. Les grands cas de succès, les erreurs à ne pas commettre ou les niches de marchés porteurs y seront par exemple décortiqués par des experts en la matière. La deuxième salle permettra d'aborder la thématique des fusions-acquisitions, dans le cadre des PME : en fin de comptes, comment s'y prend-on pour acheter une société ? La salle dédiée aux travailleurs indépendants devrait permettre de répondre à toutes les attentes de quelqu'un souhaitant se mettre à son compte. Et ainsi de suite : du pratique, que du pratique, exit les conférences menées par des commerciaux disposés avant tout à vendre leurs services.

Quelques conseils...
Un petit mot pour les créateurs d'entreprises francophones ? "Mon premier conseil pour tout entrepreneur étranger se lançant dans l'aventure, c'est avant tout de trouver une bonne 'gestionaria'. Cela me semble indispensable pour ne pas souffrir dès le départ d'un manque de connaissances concernant les obligations fiscales en Espagne. J'ajouterais qu'il ne faut pas se fier au capital social minimum de 3000 € : avec cette somme on ne va vraiment pas très loin. Je crois que 15 ou 20.000 euros représente une somme beaucoup plus réaliste. Enfin, profitez des réseaux de networking, notamment le réseau français, très dense, ce qui vous permettra de vous intégrer le plus vite possible, de trouver des partenaires et des clients potentiels".

Entrée offerte pour les lecteurs du Petitjournal.com, en utilisant le code suivant : SME2011
Inscrivez vous en ligne ici
(Coût officiel de l'entrée visiteur : 80€)

Vincent GARNIER (www.lepetitjournal.com - Espagne) Mercredi 26 janvier 2011

Salon Miempresa
Mardi 15 et mercredi 16 février
Palais des congrès de Madrid
+ d'infos : www.creaventure.com

Difficultés scolaires

L’une des dérives des cours particuliers est qu’ils se substituent au travail personnel de l’enfant et le rendent dépendant. Certains n’étudient plus que quand le “prof” est là, ou n’écoutent plus à l’école car après “il y aura les cours particuliers à la maison”. Or, le recours aux cours particuliers ne devrait être que ponctuel et son objectif est la remise à niveau et non un accompagnement permanent. Des alternatives existent.

En France comme en Espagne, les entreprises de cours de soutien se comptent par dizaines. Pour de nombreux parents, les cours de soutien représentent la seule recette contre cet échec tant redouté.
Pourtant, comme l’indique Dominique Glasman, professeur de sociologie et coauteur d'un rapport(1) portant sur les cours de soutien et le travail en dehors de l'école, “On ne peut pas mettre en avant une efficacité certaine des cours particuliers, comme le font certains organismes privés”. Par ailleurs, les enfants espagnols et français connaissent plus l’échec scolaire que ceux des pays nordiques où les cours de soutien sont loin d'être aussi répandus.
Prenons un exemple réel, Daniel (2) n’a jamais rencontré la moindre difficulté scolaire jusqu’à la classe de troisième où les notes ont considérablement baissé. L’approche du brevet inquiète ses parents. Que faire ? Les cours particuliers sont immédiatement envisagés. Il est décidé de faire appel à un professeur à raison de 4 heures par semaine, tout devrait rentrer dans l’ordre, Daniel a d’ailleurs l’air content du professeur. Au troisième trimestre, c’est la panique, malgré tous leurs efforts, les parents constatent que les notes ont encore baissé.

Que s’est-il passé ?
- Daniel n’a en fait aucune difficulté de compréhension, il n’est tout simplement pas motivé et manque de confiance en lui, et cela le professeur ne pouvait pas le corriger.
- Daniel ne s’est jamais plaint d’avoir des cours particuliers ; cela lui permettait de travailler moins en classe et le soir car le professeur lui réexpliquait les notions principales. Mais devant sa copie, Daniel se sentait bien seul.

Aurait-on pu faire autrement ?
Oui, quand le problème n’est pas uniquement lié à la compréhension, un travail sur mesure est nécessaire. C’est le travail du coach scolaire. Son rôle est d’aider l’adolescent à réfléchir sur lui-même, sur sa manière de fonctionner et sur son avenir. L’objectif est, tout en s’appuyant sur ses points forts et en désamorçant les blocages éventuels, de définir les éléments où l’enfant puise sa motivation et son énergie. L’objectif du coach sera de bien comprendre les raisons des difficultés présentes et de les dépasser avec pour objectif de rendre l’adolescent responsable et surtout autonome, à l’inverse des cours particuliers qui renvoient souvent la responsabilité vers le professeur.

Coaching ou cours particuliers, comment prendre la bonne décision ?
Voici une approche très simple en 4 étapes pour vous aider à prendre la bonne décision :
Etape 1 - L’observation : comment fonctionne votre enfant le soir lors des devoirs, comment s’organise-t-il ? Prenez le temps de l’observer pendant quelques jours. Ici vous pourrez déceler éventuellement des problèmes d’organisation, d’attitude.
Etape 2 - Le dialogue : interrogez votre enfant pour qu’il décrive ses difficultés, ce n’est pas toujours aisé de faire la part des choses mais certains éléments vous seront forcément utiles ou attireront votre attention. Compréhension ? Motivation ? Confiance en lui ? Relations avec les professeurs ? avec ses camarades ? Plusieurs éléments à surveiller.
Etape 3 - Les rencontres : avec le professeur principal ou ceux des matières les plus faibles. Ceci pour corroborer ou élargir les informations recueillies lors de l’observation et auprès de votre enfant.
Etape 4 - La prise de décision :
• Si vous pensez qu’il s’agit d’un problème de compréhension ou de découragement face à la difficulté d’une ou deux matières (au maximum), il semble raisonnable de faire appel à un professeur particulier dans les matières concernées. Le rythme ne devrait pas dépasser quelques heures par semaine pour l’ensemble des matières. Et, pour éviter toute dépendance, un objectif précis et une durée raisonnable doivent être fixés. Cette aide doit être ponctuelle et l’enfant doit en être conscient.
• Si votre sentiment est que votre enfant est globalement découragé face à la “chose scolaire”, si vous ressentez un manque de motivation, un manque de confiance en soi ou un manque d’implication, les cours particuliers ne vous seront pas d’un grand secours. Ici l’intervention d’un coach scolaire prend tout son sens. Cette solution n’exclut pas la prise de cours particuliers complémentaires si nécessaire dans une ou deux matières mais ceux-ci resteront ponctuels.

Laurent Devred exerce à Madrid comme coach scolaire. Il accompagne les adolescents et étudiants depuis la 3e jusqu’à l’université. Les séances durent 75 minutes et en général, 5 à 10 séances sont suffisantes pour remettre l’élève ou l’étudiant à flots et obtenir des changements significatifs au premier rang desquels une amélioration des notes et un changement dans l’attitude y compris des changements dans les relations avec l’entourage.
Plus d’information sur www.coaching-escolar.es/fr

Les bébés volés du franquisme.

(Photo AFP)
Volés à la naissance contre la volonté de leurs mères, à qui l'on assurait que le bébé était décédé, puis vendus à des familles ne parvenant pas à avoir d'enfants: l'association nationale des victimes d'adoptions illégales Anadir dénonce l'existence d'un véritable trafic de bébés, pendant la dictature franquiste (1939-75) et jusqu'à la fin des années 1980. Cette association a déposé jeudi une plainte portant sur le cas de 261 bébés probablement volés au cours de cette période, auprès du Procureur général de l'Etat espagnol, Candido Conde-Pumpido. L'objectif est que les parquets régionaux "ouvrent des enquêtes" sur tous ces cas, a indiqué à l'AFP l'avocat des plaignants, Me Enrique Vila. Cette plainte "va dans le même sens que notre combat", s'est félicité Emilio Silva, président de l'Association pour la récupération de la mémoire historique (ARMH), qui réclame des enquêtes sur les disparus du franquisme. Le parquet de l'Audience Nationale, la plus haute instance judiciaire espagnole, avait déjà demandé début décembre au ministère de la Justice d'aider les enfants volés sous le franquisme à rétablir leur identité, proposant l'ouverture d'un bureau chargé de ces enquêtes.

Pour des raisons morales puis pour de l'argent
Selon le parquet, les enquêtes sur ces enfants ne sont pas prévues par la loi sur la mémoire historique, votée en 2007 et visant à réhabiliter les victimes de la guerre civile (1936-1939) et de la dictature. Sous le franquisme, les bébés étaient "surtout volés pour des raisons politiques, à des femmes républicaines" et l'objectif "n'était encore pas de faire de l'argent", selon Me Vila. Un décret datant de 1940 permettait au régime franquiste de placer les enfants sous sa garde si leur "éducation morale" était en danger. Puis le système a dérivé: "des médecins et des cliniques privées ont vu qu'il y avait moyen de gagner de l'argent", et ont commencé à vendre des bébés, a ajouté l'avocat.
Jusqu'à 1987, le contrôle de l'administration sur le système des adoptions était "quasi-inexistant", ce qui conférait un "grand pouvoir aux médecins", selon Me Vila. Les démarches d'état civil "étaient parfois réalisées dans des commissariats à l'intérieur même des cliniques et les policiers étaient de mèche", selon Emilio Silva. Les identités des bébés étaient falsifiées et l'enfant "acheté" figurait sur le livret de famille comme enfant biologique de la famille.

Beaucoup mourront sans même savoir
Il est "très difficile" de savoir combien de familles sont concernées, "car beaucoup d'enfants volés ne le savent même pas et mourront sans doute sans le savoir", selon Me Vila. Anadir a été créée par Antonio Barroso, 41 ans, qui a lui-même découvert en 2008 que son acte de naissance avait été falsifié et qu'il n'était pas l'enfant biologique de ses parents. Grâce à la médiatisation de plusieurs cas, "les appels de personnes ayant des doutes se multiplient", a assuré Me Vila. Des enfants qui pensent avoir été volés, "car ils constatent depuis toujours qu'ils n'ont aucune ressemblance physique avec leur parents", mais aussi des parents à qui l'on a dit que leur bébé était mort mais qui n'ont jamais vu le cadavre, a-t-il précisé. Quelles étaient ces mères à qui l'on volait des enfants? "Des femmes d'origine modeste, dont on savait qu'elles n'auraient pas les moyens d'engager des poursuites en cas de doute", selon Me Vila.

La Chandeleur

Le 2 février, c´est la fête de la Chandeleur.
Dans les familles, on mange des crêpes. Tous les membres de la famille doivent faire cuire une crêpe et la retourner avec une pièce en or dans la main libre. Ça porte bonheur.

CONJUGAISON : niveau intermédiaire - révisez la conjugaison des verbes en -DRE

Conjugaison : Les verbes en  -DRE

A. Mettez les verbes au présent de l’indicatif

1. Tu (attendre) __________________ ta soeur.

2. Nous (répondre) __________________ à votre question.

3. Je (confondre) __________________ les dates d’anniversaire de Pauline et de Sophie.

4. La caissière (rendre) __________________la monnaie aux clients.

5. Ils (vendre) __________________ leur maison.

6. Vous (descendre) __________________ les valises au premier étage.

B. Mettez les verbes à l’imparfait

1. Ils (correspondre) __________________ par courrier électrique.

2. Paul (ne jamais défendre) __________________ son petit frère.

3. Cette poule (pondre) __________________ un œuf par semaine.

4. Vous (entendre) __________________mal ce qu’il disait.

5. À 15 ans, je (dépendre) __________________ encore de mes parents.

6. Les bûcherons (fendre) __________________ du bois dans la forêt.

C. Mettez les verbes au futur

1. Ils (perdre) __________________ leur temps dans cette réunion. dire la vérité.

2. Je (revendre) __________________ mon appartement dans cinq ans.

3. Tu (pendre) __________________ ton manteau dans l’armoire.

4. La neige (fondre) __________________au printemps.

5. Vous lui (tendre) __________________la main quand vous le verrez.

6. Nous (tondre) __________________la pelouse dans quinze jours.

D. Mettez les verbes au passé composé

1. Nous (répandre) __________________la nouvelle dans tout le quartier.

2. Vous (ne pas répondre) __________________ à mon appel.

3. Le chien (mordre) __________________ la petite fille.

4. Ils (reperdre) __________________ l’argent qu’ils avaient gagné au casino.

5. J’ (attendre) __________________20 minutes, puis je suis partie.

6. Tu (tordre) __________________ le fil de fer pour qu’il puisse rentrer dans la serrure.

E. Mettez les verbes au subjonctif présent

1. Il faut qu’il (défendre) __________________  ses droits.

2. J’aimerais qu’ils (ne pas perdre) __________________ leur temps dans cette réunion.

3. Il veut que je (vendre) __________________  ma voiture.

4. Je voudrais que tu (détendre) __________________  l’atmosphère en racontant une blague.

5. Ils ne croient pas que nous (rendre) __________________l’argent que nous devons.

6. Je ne pense pas que vous (répondre) __________________  sincèrement.

F. Mettez les verbes au conditionnel présent

1. Si j’avais le temps, j’ (attendre) __________________  patiemment qu’il revienne.

2. Si tu voulais, nous (vendre) __________________ la maison de campagne.

3. S’il n’était pas fatigué, il (descendre) __________________ en courant.

4. Si vous vous rapprochiez du professeur, vous (entendre) __________________ mieux ce qu’il dit.

5. Si tu restais plus de temps ici, tu (rendre) __________________ visite à tes amis.

6. Si elles pouvaient, elles vous (défendre) __________________.

CONJUGAISON : niveau débutant - exercices- les verbes en -ER

LES VERBES EN -ER

A. Mettez les verbes au présent de l’indicatif

1. Je (parler) __________________ français.

2. Tu (danser) __________________ le samedi soir.

3. Il (fermer) __________________ la porte.

4. Elle (traverser) __________________ la route.

5. Nous (arrêter) __________________ de fumer.

6. Vous (penser) __________________ à tout.

7. Ils (allumer) __________________ l’ordinateur.

8. Elles (téléphoner) __________________ à leurs parents.

9. On (regarder) __________________ la télévision.

10. L’avion (décoller) __________________ à 20h.

B. Mettez les verbes au présent de l’indicatif

1. Il (expliquer) __________________ la situation.

2. Elle (garder) __________________ des enfants.

3. Ils (aimer) __________________ le sport.

4. Tu (aider) __________________ tes amis.

5. Nous (marcher) __________________ tous les jours.

6. Vous (écouter) __________________ la radio.

7. On (arriver) __________________ à 14h  et on repartait à 18h.

8. Je (rêver) __________________ aux vacances.

9.  Nous (déjeuner) __________________au restaurant.

10.  Vous (dîner) __________________ à 20h.

C. Mettez les verbes au présent de l’indicatif

1. Je (chercher) __________________ l’information.

2. Tu (trouver) __________________ une solution.

3. Elle (raconter) __________________ la vérité.

4. Nous (visiter) __________________ le musée du Prado.

5. Ils (critiquer) __________________ ce que tu fais.

6. Vous (accepter) __________________ sa proposition.

7. Tu (conjuguer) __________________ ces verbes.

8. Il (jouer) __________________ au tennis.

9. Nous te (prêter) __________________ notre voiture.

10. Elles (habiter) __________________ dans un appartement à Paris.

D. Mettez les verbes au présent de l’indicatif

1. Je (manger) __________________à midi.

2. Tu (commencer) __________________à travailler à 8h.

3. Il (essayer) __________________de te parler, mais tu ne l’écoutes pas.

4. Elle (ranger) __________________ses affaires.

5. Nous (renoncer) __________________à ce projet.

6. Nous (voyager) __________________ toujours en train.

7. Vous (essuyer) __________________la vaisselle.

8. Elles (nager) __________________une fois par semaine.

9. On (annoncer) __________________la bonne nouvelle.

10. Pierre et moi (déménager) __________________à la fin du mois.

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Qu'en pensez-vous ?

Vous avez dit C.D.D ? T.G.V ? S.N.C.F ?

Vous ne connaissez pas certains acronymes...n'hésitez pas à consulter ce site !

ACRONYMA

74 sites Internet

Sites internet
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Constructions verbales avec prépositions

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Sélection de musées lyonnais intéressants à visiter - conseils pratiques

Le musée des Automates

Situé à St Georges, quartier de Guignol, dans le Vieux Lyon classé « Patrimoine Mondial de l’Humanité » par l’UNESCO, il y a un atelier artisanal depuis 60 ans ! Petit monde merveilleux, le musée présente 250 automates, tous en mouvement, sur 7 salles avec 20 scènes rendant hommage au patrimoine lyonnais et français : Gargantua de Rabelais, La flûte enchantée de Mozart, Guignol, Notre Dame de Paris de Victor Hugo, les travaux des champs d’après les œuvres de Millet, la vie des canuts, les vendanges en Beaujolais… Durée de la visite : 1 heure environ. Ludique et instructif.

Adresse/Contacts
100 rue St Georges
BP 5015 - 69245 Lyon cedex 05 69005  Lyon
Tél. 04.72.77.75.28
Fax 04.72.77.75.21

Tarifs
-enfant (- de 11 ans) : 5 €
-scolaire & étudiant : 6 €
-adulte : 7 €  

Horaires
- 14h– 18h, tous les jours de l’année (Attention, la billetterie ferme à 17h15).
- Pour les groupes, autres horaires possibles sur réservation par tél. 04.72.77.75.20 .

Le musée des Miniatures et décors de Cinéma

Ce Musée situé au cœur du Vieux Lyon vous fera découvrir deux expressions artistiques rares et étonnantes :
L’Art des Décors Miniatures en présentant les œuvres hyperréalistes de Dan Ohlmann
L’Art du Décor de Cinéma invitant le visiteur à pénétrer  sur de véritables plateaux de tournages.

Le musée des miniatures occupe la Maison des avocats, auberge au XVe siècle. L’édifice a été reconstruit à la Renaissance, comme le montrent les galeries à arcades qui relient les deux principaux corps de bâtiments. La cour est devenue visible depuis la démolition de l’immeuble qui la bordait au sud.

Adresse/Contacts
60 rue Saint Jean
Maison des avocats 69005  Lyon
Tél. 04 72 00 24 77

Accès
Métro ligne D - station Vieux-Lyon

Tarifs
- Adulte = 7 €
- Adulte tarif réduit = 5,50 € ( chômeur – handicapé - carte famille nombreuse )
- Enfant = 5,50 € ( de 4 à 15 ans inclus )
- Enfant tarif réduit = 3,50 € ( carte famille nombreuse )
- Tarifs réduits pour groupes

Horaires
- Du mardi au vendredi de 10h à 18h.
- Ouvert de 10 h à 19 h le samedi , le dimanche , les jours fériés et pendant les vacances scolaires .

Le musée gallo-romain de Fourvière

Le musée gallo-romain de Lyon-Fourvière et le site archéologique occupent les pentes de la colline de Fourvière, jadis situé au centre de la ville romaine de Lugdunum, fondée en 43 avant Jésus-Christ.

Le musée conçu par Bernard H. Zehrfuss, abrite l'une des plus riches collections archéologiques de France. La structure intégrale de béton armé se fond discrètement dans le cadre des vieilles pierres. Ce musée retrace, en suivant un parcours chronologique et thématique, l'histoire de Lyon depuis la fin de la Préhistoire jusqu'au VII e siècle après Jésus-Christ. Une rampe hélicoïdale descend en même temps qu'on avance dans le temps. Dix-sept espaces pour dix-sept thèmes abordés en glissant sur les trois niveaux de collections consacrées à la période gallo-romaine avec une introduction sur la préhistoire de la région.
Tous les objets sont des originaux et proviennent pour la plupart de fouilles et découvertes faites dans la région Rhône-Alpes. Tous les chapitres de la vie publique et privée d'une capitale de l'Empire sont abordés autour de pièces emblématiques telles que la table Claudienne, le calendrier de Coligny, le trésor de Vaise ...

A proximité le site archéologique dévoile le grand théâtre et l'odéon romains juste à côté. Le premier, édifié en 15 av. J.-C., était composé de gradins de pierre et 10 000 personnes pouvaient y prendre place. Son diamètre atteignait 108 m. Il s'adosse naturellement à la colline. Contrairement à ce qu'on peut penser, on y jouait des farces, pantomimes et autres spectacles légers. L' odéon voisin, plus intime mais comparable dans sa conception, abritait les spectacles comme la musique, les lectures publiques de poésie.

© Christian Thioc et Jean-Michel Degueule

Adresse/Contacts
17 rue Cléberg
69005  Lyon
Tél. 04 72 38 49 30

Accès
Funiculaire Saint-Just – Station Minimes

Tarifs
Exposition et collections permanentes :
- Plein Tarif : 7€
- Tarif Réduit : 4,5 €
- Gratuit :
moins de 18 ans
demandeurs d’emploi
bénéficiaires du RMI
personnes handicapées + 2 accompagnateurs

- Jeudis : entrée gratuite pour tous
- Atelier enfant : 3 €
- Visite guidée : droit d’entrée + 2 €
- Conférences gratuites

Horaires
Du mardi au dimanche, de 10h à 18h

Le Musée des Tissus et des Arts décoratifs

Le Musée des Tissus retrace 2000 ans d'histoire occidentale et orientale du textile en présentant pièces de tissus, tapis, tapisseries et costumes.

Ses collections et les expositions temporaires mettent à l’honneur le savoir-faire textile de la ville de Lyon.

Quant au Musée des Arts décoratifs contigu, il témoigne des décors intérieurs du XVIIIe s en présentant les tissus en situation et une importante collection d'objets, pièces d'ébénisterie et d'orfèvrerie, tapisseries et peintures.

Adresse/Contacts
34 rue de la Charité
69002  Lyon
Tél. 04 78 38 42 00
Fax 04 72 40 25 12
Mail: musees@lyon.cci.fr

Accès
Métro ligne A - station Ampère

Tarifs
- 6 € pour les individuels
- 5 € pour les groupes
- 3,50 € pour les 16-25 ans

Horaires
Ouvert tous les jours sauf lundi, jours fériés, dimanches de Pâques et de Pentecôte.
- Musée des Tissus : de 10h à 17h30.
- Musée des Arts décoratifs : de 10h à 12h et de 14h à 17h30.

La maison des canuts - Musée du tissage

La Maison des Canuts est le seul lieu à Lyon où vous pouvez voir fonctionner des métiers à tisser à bras "Jacquard"

Au cours d’une visite commentée, vous pourrez découvrir : l’invention de Jacquard illustrée par des démonstrations de tissage sur métiers à bras, l’histoire de la soie, l’apport social des canuts au XIXeme siècle et la réalité de l’industrie textile rhônalpine au XXIème siècle.

La boutique vous propose un vaste choix d’articles textile fabriqués dans notre région : foulards, écharpes, cravates, coupons de tissus, images tissées et passementerie.

Adresse/Contacts
10 rue d'Ivry
69004  Lyon
Tél. 04 78 28 62 04
Mail: info@maisondescanuts.com

Plan d'accès

Tarifs
Adultes - 6 €
Scolaires - 3 €
Gratuit moins de 12 ans
Pour les groupes 5 €

Horaires
- Du mardi au samedi de 10h à 18h30
- Visite commentée tous les jours pour les individuels à 11h et à 15h30
- Sur réservation pour les groupes de plus de 10 personnes

Centre d'Histoire de la Résistance et de la Déportation

Lyon, "capitale de la Résistance", se devait de créer un Centre d'histoire digne du rôle qui fut le sien durant l'Occupation.

Aménagé dans l’ancienne École de santé militaire, à l’intérieur même des bâtiments où le chef de la Gestapo de Lyon, Klaus Barbie, a sévi, le Centre d’Histoire de la Résistance et de la Déportation s’attache à être plus qu’un simple musée du souvenir. C’est un lieu fort et symbolique au service de l’Histoire et de la Mémoire.

Un lieu qui nous invite à revisiter, à travers son exposition permanente, l’une des plus sombres périodes de notre histoire, et aussi un centre de réflexion ouvert, par ses nombreuses expositions temporaires, sur le monde contemporain.

Adresse/Contacts
14 Avenue Berthelot
69007  Lyon
Tél. 04 78 72 23 11
Fax 04 72 73 32 98
Mail: chrd@mairie-lyon.fr

Accès
Tram T2 - Arrêt centre Berthelot

Tarifs
- Tarif normal : 4 €
- Tarif réduit : 2 € (étudiants, groupes à partir de 10 personnes)
- Gratuit pour les moins de 18 ans.
- Visite commentée sur réservation : 7 €

Horaires
Mercredi à vendredi de 9h à 17h30.
Samedi et dimanche de 9h30 à 18h00.

Institut Lumière

En 1895, Auguste et Louis Lumière font de la ville de Lyon le berceau du 7ème art en inventant le Cinématographe.

Installé dans la villa familiale, le musée Lumière vous fait découvrir les fabuleuses inventions des frères Lumière : cinématographe, premières photographies en couleur, objets insolites…

Le Hangar du Premier-Film, dernier vestige des usines Lumière et premier décor du Cinématographe, a été rénové en grande salle de cinéma, dans laquelle l'Institut Lumière propose des séances quotidiennes de grands classiques et raretés, et de grandes rétrospectives. Avis aux cinéphiles !

Les plus du site :

Vidéos des premiers films des frères Lumière
Galerie photo de cinéastes et acteurs

Adresse/Contacts
25 rue du premier Film
69008  Lyon
Tél. 04 78 78 18 95
Fax 04 78 78 18 94
Mail: contact@institut-lumiere.org

Accès
Métro ligne D – Station Monplaisir Lumière

Tarifs
Musée Lumière
- Tarif normal : 6,00 €
- Tarif réduit 5,00 €

Cinéma
- Tarif normal 6,50 Euros
- Tarif réduit 5,50 Euros

Horaires
- Musée Lumière : du mardi au dimanche de 11h à 18h30
- Cinéma : le soir et le week-end

 

Les musées Gadagne

Situé au cœur du Vieux-Lyon, l’ensemble Gadagne est un magnifique édifice Renaissance abritant deux musées majeurs : le musée d’histoire de Lyon et le musée des marionnettes du monde

Le musée d’histoire de Lyon

Grâce à une approche synthétique, allant de la capitale des Gaules au 21e siècle, le musée d’histoire de Lyon est un lieu ressource pour cerner la ville, dans toutes ses composantes : urbanistiques, économiques, sociales, politiques, culturelles…
S’appuyant sur les 80 000 objets de sa collection et sur des opérations conduites avec les acteurs associatifs, sociaux, éducatifs ou scientifiques de la ville, il offre aux Lyonnais un espace de compréhension de leur environnement quotidien. Il constitue pour ceux qui découvrent Lyon, un point de départ pour leur exploration de la ville.

Le musée des marionnettes du monde

Musée de France, le musée des marionnettes du monde détient une collection de plus de 2 000 marionnettes du monde entier et plus d’un millier de décors, castelets, costumes, accessoires, affiches, programmes et manuscrits. Des archives de spectacles filmés et des diaporamas didactiques accompagnent la présentation des collections. Le musée accueille également des marionnettistes contemporains dans le petit théâtre de Gadagne ou sur son audioguide !

Toute l’année, les musées Gadagne proposent de nombreuses activités : visites guidées à thème, spectacles, ateliers pour enfants ou adultes et même des activités hors les murs comme les balades urbaines.

Adresse/Contacts
14 rue de Gadagne
69005  Lyon
Tél. 04 78 42 03 61
Fax 04 78 42 79 71
 

Accès
Métro ligne D – Station Vieux-Lyon
Accès personne à mobilité réduite au 14 rue de Gadagne

Tarifs
Un musée : 6 euros, tarif réduit 4 euros
Deux musées : 8 euros, tarif réduit 6 euros
Gratuit pour les moins de 18 ans, les étudiants de moins de 26 ans, les demandeurs d’emploi et les personnes en situation de handicap.
Audioguides gratuits pour les deux musées et la visite de l’édifice Gadagne

Horaires
Du mercredi au dimanche de 11h00 à 18h30

Musée de l'Imprimerie

Installé dans un bâtiment Renaissance, le Musée de l’imprimerie offre un panorama unique de l’histoire du livre et des techniques graphiques, de Gutenberg à la photocomposition. "Musée de France" depuis 2005, il est l’un des grands musées européen dans son domaine. Les plus du site
Catalogue des ouvrages du musée consultable en ligne

Adresse/Contacts
13 rue de la Poulaillerie
69002  Lyon
Tél. 04 78 37 65 98
 

Accès
Métro ligne A – Station Cordeliers

Tarifs
- Plein tarif : 5 €
- Tarif réduit : 3 €

Horaires
- Individuels : mercredi au dimanche inclus, 9h30-12h et 14h-18h
- Groupes : tous les jours sur rendez-vous, 9h-12h et 14h-18h

Venez découvrir une ville française : LYON

L'EOI de San Blas, cette année a décidé de mettre l'accent sur les activités culturelles, c'est pourquoi le département de français a organisé un voyage à Lyon.

Pourquoi Lyon ? Pour de multiples raisons !!

Il s'agit d'une ville peu connue de nos étudiants FLE et pourtant c'est une ville qui est relativement proche de l'Espagne, en moins de deux heures nous rejoindrons les GONES !

Lyon a un passé très riche et une culture fleurissante....de l'art romain ...à la  Renaissance italienne ...

Capitale de la Gaule, capitale gastronomique, capitale de la soie, capitale de la marionette...Guignol est né à Lyon !

Plus encore, vous y découvrirez les premiers pas du cinéma avec les Frères Lumière.

Voici un aperçu de notre voyage...

·    Vendredi 18 mars : Départ de Madrid en avion à 13h50. Vous devez être à 11h50 à l’aéroport. Arrivée à Lyon à 15h35, nous prendrons le tramway pour aller à l’hôtel.

Après-midi : Comme notre hôtel se situe à côté : visite des Halles de Lyon, balade dans le quartier des Brotteaux et dans le Parc de la Tête d’Or.

Soir : Nous irons dîner tous ensemble au Restaurant « Le Crayon » (79, rue Baraban) où vous dégusterez des spécialités culinaires de Lyon, capitale gastronomique !!!

·      Samedi 19 mars :    

Matin : De 9h30  à 13h00  visite guidée du centre historique de Lyon : « De Fourvière au vieux Lyon et ses traboules

Après-midi : Quartier libre… Vous pouvez visiter :

Le musée des Frères Lumière :

Avenue des Frères Lumière, 25, rue du Premier-Film.

http://www.institut-lumiere.org/

Heure d’ouverture : Sam et Dim. de 11h à 18h30, 6 euros (4,50 euros pour les groupes à partir de 7 personnes)

Le musée Gadagne (histoire de Lyon et des marionnettes) :

1, place du Petit Collège

http://www.gadagne.musees.lyon.fr/index.php/gadagne/(lang)/fr

Heure d’ouverture : Sam et Dim. de 11h à 18h30, 8 euros les 2 musées

La Maison des Canuts (musée de la soie) :

10 et 12, rue d’Ivry

http://www.maisondescanuts.com/index.html

Heure d’ouverture : Sam. de 10h à 18h, 6-10 euros

Atelier de soierie, impression à cadre :

33, rue du Romarin

http://www.aventurier.fr/fr/france/rhone_alpes/69_dec_soie/index.shtml

Heure d’ouverture : Sam. 14h à 18h, gratuit individuel, 2 euros pour les groupes

Musée des tissus et arts décoratif :

34, rue de la Charité

http://www.musee-des-tissus.com/

Heure d’ouverture : Sam et Dim. de 10h à 17h30, 7 euros (6 euros pour les groupes à partir de 10 personnes)

Le musée gallo-romain :

17, rue Cléberg

http://www.musees-gallo-romains.com/fourviere/accueil/index.html

Heure d’ouverture : Sam et Dim. de 10h à 18h, 7 euros.

Vous pouvez également vous perdre dans la ville et en profiter pour goûter des spécialités lyonnaises….

Soir : optionnel, balade nocturne en péniche. Spectacle: café-théâtre. Ou pour ceux que ça tente, rendez-vous à 21h pour prendre un verre sur les péniches du Rhône.

·     Dimanche 20 mars :

 Matin : De 10h00  à 13h00  visite guidée du centre historique de Lyon : « Traboules de la Croix Rousse, murs peints et soierie vivante »

Après-midi : Quartier libre… (Consultez la liste des musées)

Soir : Rendez-vous à 20h30 pour dîner tous ensemble à la célèbre Brasserie Georges.

30, Cours de Verdun

http://www.brasseriegeorges.com/

·     Lundi 21 mars :

Matin :

Retour à Madrid 

Départ de l’hôtel à  8hDépart de Lyon à 11h10, arrivée à Madrid à 13h10

Nous espérons vous avoir mis l'eau à la bouche !