EOI SAN BLAS

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martes, 21 de diciembre de 2010

Ciné : Joyeux Noël....


Synopsis
Pendant l'été 1914, la Première Guerre mondiale éclate, entraînant des millions d'êtres humains dans son tourbillon.
Nikolaus Sprink doit renoncer à sa carrière prodigieuse de ténor à l'opéra de Berlin et ne plus voir Anna Sörensen, sa partenaire et compagne.
Ce qui suit dévoile des moments clés de l’intrigue.
Pour suivre le jeune Jonathan qui s'est engagé, et qui l'aidait constamment dans son église, le prêtre anglican Palmer quitte l'Écosse et se retrouve brancardier sur le même front du nord de la France.
Quant au lieutenant français Audebert, il a dû laisser sa femme enceinte et alitée pour combattre l'ennemi ; depuis son départ, les Allemands occupent la petite ville du Nord où la jeune femme est censée avoir déjà accouché, à moins que le pire ne soit déjà arrivé ! Ne rien savoir est une souffrance qui taraude toutes les nuits du lieutenant Audebert.
Le temps passant, la neige s'installe. Noël arrive avec son cortège de cadeaux venant des familles et des états-majors. Mais la surprise ne vient pas des nombreux et généreux colis arrivant dans les tranchées françaises, allemandes ou écossaises. Car c'est l'impensable qui se produit : pour quelques instants, on va poser le fusil pour aller, une bougie à la main, voir celui d'en face, pourtant décrit depuis des lustres, à l'école aussi bien qu'à la caserne, comme un monstre sanguinaire, et, la musique coutumière des chants de Noël aidant, découvrir en lui un humain, lui serrer la main, échanger avec lui cigarettes et chocolat, et lui souhaiter un « Joyeux Noël », « Frohe Weihnachten », « Merry Christmas ». C'est alors que l'on assiste à une trêve passagère entre les trois camps, qui vont fêter Noël ensemble. Puis, pris d'attachement, les chefs de ces trois camps vont sauver mutuellement leurs ennemis. Une histoire réelle oubliée de l'Histoire elle même qui se serait passée à Frelinghien, dans le Nord, près de Lille, actuellement un parc et un centre équestre nommé l'A.H.F.R.A. .

Fiche technique

Titre : Joyeux Noël

Ciné: un classique français, La Bûche de Noël

Synopsis

Suite au décès récent de son deuxième mari, Yvette tente de réunir de nouveau pour Noël les trois filles de son premier mariage avec Stanislas, violoniste tzigane à la retraite. Autour des préparatifs, les remises en question et les révélations vont bon train pour Louba, l'artiste, Sonia, la bourgeoise et Milla, la rebelle.

Fiche technique

miércoles, 15 de diciembre de 2010

Il était une fois l'histoire de la Bûche de Noël...

ORIGINE ET HISTOIRE DE LA BÛCHE DE NOËL

(D'après « La nuit de Noël dans tous les pays » paru en 1912)

La bûche de Noël réunissait autrefois tous les habitants de la maison, tous les hôtes du logis, parents et domestiques, autour du foyer familial.
La bénédiction de la bûche avec les cérémonies traditionnelles dont elle se parait n'était que la bénédiction du feu, au moment où les rigueurs de la saison le rendent plus utile que jamais : cet usage existait surtout dans les pays du Nord. C'était la fête du feu, le Licht des anciens Germains, le Yule Log, le feu d'Yule des forêts druidiques, auquel les premiers chrétiens ont substitué cette fête de sainte Luce dont le nom, inscrit le 13 décembre au calendrier et venant du latin lux, lucis, rappelle encore la lumière.
Il est tout naturel qu'on mette en honneur, au 25 décembre, au cœur de l'hiver, le morceau de bois sec et résineux qui promet de chauds rayonnements aux membres raidis sous la bise. Mais, souvent, cette coutume était un impôt en nature, payé au seigneur par son vassal. A la Noël, on apportait du bois ; à Pâques, des œufs ou des agneaux ; à l'Assomption, du blé ; à la Toussaint, du vin ou de l'huile.
Il arrivait aussi, quelquefois, que les pauvres gens ne pouvant se procurer des bûches convenables pour la veillée de Noël, se les faisaient donner. « Beaucoup de religieux
Tradition de la grande bûche de Noël.
Dessin de Léon Lhermitte paru dans
Le Monde illustré du 1er janvier 1884
et de paysans, dit Léopold Bellisle, recevaient pour leurs feux des fêtes de Noël un arbre ou une grosse bûche nommée tréfouet ». Le tréfeu, le tréfouet que l'on retrouve sous le même nom en Normandie, en Lorraine, en Bourgogne, en Berry, etc., c'est, nous apprend le commentaire du Dictionnaire de Jean de Garlande, la grosse bûche qui devait, suivant la tradition, durer pendant les trois jours de fêtes. De là, du reste, son nom : tréfeu, en latin tres foci, trois feux.
Partout, même dans les plus humbles chaumières, on veillait autour de larges foyers où flambait la souche de hêtre ou de chêne, avec ses bosses et ses creux, avec ses lierres et ses mousses. La porte restait grande ouverte aux pauvres gens qui venaient demander un gîte pour la nuit. On leur versait en abondance le vin, la bière ou le cidre, suivant les contrées, et une place leur était accordée à la table de famille. On attendait ainsi la Messe de minuit.
Qu'on se représente les immenses cheminées d'autrefois : sous leur manteau pouvait s'abriter une famille tout entière, parents, enfants, serviteurs, sans compter les chiens fidèles et les chats frileux. Une bonne vieille grand'mère contait des histoires qu'elle interrompait seulement pour frapper la bûche avec sa pelle à feu et en faire jaillir le plus possible d'étincelles, en disant : « Bonne année, bonnes récoltes, autant de gerbes et de gerbillons ».
La bûche de Noël était un usage très répandu dans presque toutes les provinces de notre vieille France. Voici, d'après Cornandet, le cérémonial que l'on suivait dans la plupart des familles : dès que la dernière heure du jour s'était fondue dans l'ombre de la nuit, tous les chrétiens avaient grand soin d'éteindre leurs foyers, puis allaient en foule allumer des brandons à la lampe qui brûlait dans l'église, en l'honneur de Jésus. Un prêtre bénissait les brandons que l'on allait promener dans les champs. Ces brandons portaient le seul feu qui régnait dans le village. C'était le feu bénit et régénéré qui devait jeter de jeunes étincelles sur l'âtre ranimé.
Cependant, le père de famille, accompagné de ses enfants et de ses serviteurs, allait à l'endroit du logis où, l'année précédente, ils avaient mis en réserve les restes de la bûche. Ils apportaient solennellement ces tisons ; l'aïeul les déposait dans le foyer et tout le monde se mettant à genoux, récitait le Pater, tandis que deux forts valets de ferme ou deux garçons apportaient la bûche nouvelle. Cette bûche était toujours la plus grosse qu'on pût trouver ; c'était la plus grosse partie du tronc de l'arbre, ou même la souche, on appelait cela la Coque de Noël (le gâteau allongé en forme de bûche que l'on donnait aux enfants le jour de Noël portait encore au début du XXe siècle dans certaines provinces le nom de coquille ou petite bûche, en patois, le cogneu).
On mettait le feu à cette Coque et les petits enfants allaient prier dans un coin de la chambre, la face tournée contre le mur, afin, leur disait-on, que la souche leur fît des présents ; et tandis qu'ils priaient l'Enfant-Jésus de leur accorder la sagesse, on mettait au bout de la bûche des fruits confits, des noix et des bonbons. A onze heures, tous les jeux, tous les plaisirs cessaient. Dès les premiers tintements de la cloche, on se mettait en devoir d'aller à la messe, on s'y rendait en longues files avec des torches à la main. Avant et après la messe, tous les assistants chantaient des Noëls, et on revenait au logis se chauffer à la bûche et faire le réveillon dans un joyeux repas.
Dans la Semaine religieuse du diocèse de Langres du 23 décembre 1905, un vieil auteur, Marchetti, expose le sens religieux de ces pratiques : « La bûche de Noël, dit-il, représente Jésus-Christ qui s'est comparé lui-même au bois vert. Dès lors, continue notre auteur, l'iniquité étant appelée, dans le quatrième Livre des Proverbes le vin et la boisson des impies, il semble que le vin répandu par le chef de famille sur cette bûche signifiait la multitude de nos iniquités que le Père Eternel a répandues sur son Fils dans le mystère de l'Incarnation, pour être consumées avec lui dans la charité, dont il a brûlé durant le cours de sa vie mortelle ».

Que préparer pour le Réveillon de Noël ?

Voici quelques idées... 25 recettes de cuisine à votre disposition.

25 recettes de cuisines...

Jeux de Noël : VOUS VOULEZ VOUS AMUSER UN PEU ...!

Jeux de Noël

martes, 14 de diciembre de 2010

Chants de Noël





























PETIT PAPA NOËL









C'est la belle nuit de Noel
La neige etend son manteau blanc
Et les yeux leves vers le ciel
A genoux, les petits enfants
Avant de fermer les paupieres
Font une derniere priere.

[Refrain:]
Petit papa Noel
Quand tu descendras du ciel
Avec des jouets par milliers
N'oublie pas mon petit soulier.
Mais avant de partir
Il faudra bien te couvrir
Dehors tu vas avoir si froid
C'est un peu a cause de moi.

Le marchand de sable est passe
Les enfants vont faire dodo
Et tu vas pouvoir commencer
Avec ta hotte sur le dos
Au son des cloches des eglises
Ta distribution de surprises.

[Refrain]

Il me tarde que le jour se leve
Pour voir si tu m'as apporte
Tous les beaux joujoux que je vois en reve
Et que je t'ai commandes.

[Refrain]

Et quand tu seras sur ton beau nuage
Viens d'abord sur notre maison
Je n'ai pas ete tous les jours tres sage
Mais j'en demande pardon.

[Refrain]
Paroles de Chansons

Le repas gastronomique

Le "repas gastronomique des Français" inscrit au patrimoine de l'humanité 

 
C'est une première. Un comité intergouvernemental de l'Unesco a choisi mardi 16 novembre d'inscrire le repas gastronomique des Français au patrimoine culturel immatériel de l'humanité.
C'est Nicolas Sarkozy qui avait annoncé en 2008 le désir de la France de voir sa gastronomie sacrée par l'Unesco. Il avait alors déclaré que la France pouvait s'enorgueillir d'avoir "la meilleure gastronomie au monde".
Réunis cette semaine dans la capitale kényane, les experts de l'Unesco ont estimé que le repas gastronomique à la française, avec ses rituels et sa présentation, remplissait les conditions pour rejoindre la "liste du patrimoine culturel immatériel de l'humanité". Plus que le contenu des assiettes, le comité note que la gastronomie française relève d'une "pratique sociale coutumière destinée à célébrer les moments les plus importants de la vie des individus et des groupes".
"Les Français aiment se retrouver, bien boire et bien manger et célébrer un bon moment de cette façon. C'est une partie de nos traditions et une tradition bien vivante", a déclaré l'ambassadrice de France auprès de l'Unesco, Catherine Colonna, lors de son intervention en séance.


CINÉ : proposition de la semaine

"Les derniers jours du monde"
 
Título OriginalLes derniers jours du mondeCalificaciónMayores de 18 años
DirectorJean Marie y Arnaud LarrieuGéneroCiencia-Ficción
IdiomaFrancésNacionalidadFrancia/ España
TipoLargometrajeAño2010
Duración132min.Fecha Estreno03-12-2010

Sinopsis


PREMIO DE LA CRÍTICA Y PREMIO JOVEN

Pese a la inminencia del fin del mundo, y tal vez para sobrellevarlo mejor, Robinson, que se recupera poco a poco del fracaso de una relación extramatrimonial, se involucra en múltiples historias amorosas respondiendo a la vez al deseo de su mujer, que intenta reconquistarle, al sorprendente deseo de la que fue amante de su padre, Ombeline, y a la imperiosa necesidad de encontrar a la que tanto le ha hecho sufrir, la joven y cruel Lae. Su odisea amorosa lo llevará a recorrer diversos lugares de Francia y España.

Ficha Técnica

Dirección y guión  ARNAUD  y  JEAN-MARIE LARRIEU
Productor BRUNO PESERY
Coproductores  PACO POCH, RICARDO FERNÁNDEZ-DEU
Director de fotografía THIERRY ARBOCAST, A.F.C.
Dirección artística  ANA ALVARGONZÁLEZ
Montaje ANNETTE DUTERTRE
Sonido OLIVIER MAUVEZIN, BÉATRICE WICK, STÉPHANE THIÉBAUT
Casting STÉPHANE BATUT
Director de producción  HERVÉ DUHAMEL
Vestuario CAROLINE TAVERNIER
Vous pouvez voir ce film en V.O au cinéma VERDI Madrid.